La septième vague de Covid-19 a officiellement frappé la France. Le nombre de cas en seulement 24 heures ayant franchi la barre des 200 000.
Cette nouvelle fait suite à une déclaration du nouveau ministre de la Santé, François Braun, qui a annoncé mardi que le nombre de contaminations “devrait légèrement dépasser les 200 000” sur les dernières 24 heures.
Faut-il s’inquiéter de ces chiffres ?
La réponse courte est oui. Cette forte augmentation des cas est une source d’inquiétude. Le nombre de personnes infectées par le Covid-19 augmente à un rythme alarmant, ce qui pourrait mettre à rude épreuve le système de santé si la tendance se poursuit.
Il est important de se rappeler que nous sommes toujours au milieu d’une pandémie et que nous devons être vigilants afin de nous protéger et de protéger les autres. Nous devons continuer à suivre toutes les mesures de sécurité mises en place par le gouvernement, comme le port d’un masque, le lavage régulier des mains et le maintien d’une distance sociale.
Nous devons également garder un œil sur la situation et être prêts à prendre des mesures supplémentaires si nécessaire.
Le port du masque recommandé en lieux clos
Le gouvernement a recommandé le port de masques dans les espaces clos tels que les transports publics, les magasins et les lieux de travail. Cette mesure vise à prévenir la propagation de la 7ème vague.
Un projet de loi pourrait permettre une certaine flexibilité jusqu’à la fin de l’hiver prochain. Un laissez-passer sanitaire pourrait être demandé aux frontières avec un test négatif ou une preuve de vaccination. Le nouveau ministre de la Santé, François Braun, a rappelé devant l’Assemblée nationale que le port du masque dans les espaces clos est recommandé.
C’est une bonne mesure à prendre pour se protéger et protéger les autres. Il est important de rappeler que le virus se propage facilement par un contact étroit avec des personnes infectées. Le port d’un masque permet de réduire le risque de transmission.
Malgré les chiffres, l’hôpital semble être moins sous pression que l’an dernier
“Mais nous sommes extrêmement attentifs à l’évolution de la situation dans le contexte que nous connaissons de l’hôpital”, déclare François Braun, ministre de la Santé.
Les experts soulignent également une diminution du nombre de personnes en soins intensifs. C’est une bonne nouvelle, car cela signifie que l’hôpital peut faire face à l’afflux de patients.
“La pression sur les hôpitaux est beaucoup moins forte que lors de la première et de la deuxième vague. Nous avons plus de lits disponibles en soins intensifs, nous avons plus de personnel, et nous sommes mieux organisés”.
Cela s’explique par le fait que la France a appris de ses erreurs et est mieux préparée à faire face à la pandémie cette fois-ci.
Nous devons néanmoins rester vigilants et continuer à suivre toutes les mesures de sécurité pour nous protéger et protéger les autres.